C’est le moment de faire ses réserves pour l’hiver : stocker comme la fourmi !
Dans la démarche qui est la nôtre aux Maisons de Bricourt et que l’on peut qualifier de durable, nous cultivons les légumes et les fruits dans l’optique d’approvisionner la cuisine du Coquillage en produits frais, bien conduits, exempts de tout traitement chimique. Ainsi, garnitures, plats, pâtisseries, entremets trouvent souvent leurs ingrédients dans notre portager et notre verger. Mais nous confectionnons aussi les confitures et tous les condiments et autres petits délices qui seront servis dès l’automne…
J’aime particulièrement la fin de l’été qui nous permet de réaliser les conserves et ainsi… gérer les récoltes et surtout, surtout, ne pas gâcher. Si vous n’avez pas de potager (ce qui est devenu rare malheureusement), allez à la rencontre des maraîchers et des producteurs sur les marchés, expliquez leur ce que vous souhaitez faire et achetez des produits sans hésiter à prendre ceux qui sont mis au rebus car moins beaux, trop mûrs… Echangez aussi vos recettes de conserves avec eux (et avec nous !), ils savent très bien comment faire pour optimiser les récoltes sans jeter. Ensuite, côté technique, chacun la sienne : confitures en pot avec de la paraffine (donc sous-vide), stérilisation, congélation… Je préfère bien entendu tout ce qui va préserver les saveurs et les propriétés des produits donc j’adapte chaque préparation et chaque destination : les coulis sont surgelés, les confitures réalisées en deux temps (macération fruits / sucre pendant 24heures puis cuisson courte) font le vide avec de la paraffine, les fruits au sirop sont stérilisés…
C’est bien entendu en plaine saison, l’été, que l’on trouve fruits et légumes mûrs à point pour faire ses conserves. N’hésitez pas à faire un coulis de tomates et glissez un peu de Poudre Sérénissima, une ratatouille parfumée de Poudre Grande Caravane, un chutney de tomate relevé de vinaigre celtique… Côté fruits, pèches, prunes et abricots peuvent être travaillés en compotes rehaussées des saveurs rondes et enveloppantes de vanille du Mexique. Les premiers potimarrons apparaissent sur les marchés et il ne faut pas hésiter à réaliser des crèmes redynamisées de Poudre des Fées…
Et n’oubliez pas de partager avec nous !
J’aime particulièrement la fin de l’été qui nous permet de réaliser les conserves et ainsi… gérer les récoltes et surtout, surtout, ne pas gâcher. Si vous n’avez pas de potager (ce qui est devenu rare malheureusement), allez à la rencontre des maraîchers et des producteurs sur les marchés, expliquez leur ce que vous souhaitez faire et achetez des produits sans hésiter à prendre ceux qui sont mis au rebus car moins beaux, trop mûrs… Echangez aussi vos recettes de conserves avec eux (et avec nous !), ils savent très bien comment faire pour optimiser les récoltes sans jeter. Ensuite, côté technique, chacun la sienne : confitures en pot avec de la paraffine (donc sous-vide), stérilisation, congélation… Je préfère bien entendu tout ce qui va préserver les saveurs et les propriétés des produits donc j’adapte chaque préparation et chaque destination : les coulis sont surgelés, les confitures réalisées en deux temps (macération fruits / sucre pendant 24heures puis cuisson courte) font le vide avec de la paraffine, les fruits au sirop sont stérilisés…
C’est bien entendu en plaine saison, l’été, que l’on trouve fruits et légumes mûrs à point pour faire ses conserves. N’hésitez pas à faire un coulis de tomates et glissez un peu de Poudre Sérénissima, une ratatouille parfumée de Poudre Grande Caravane, un chutney de tomate relevé de vinaigre celtique… Côté fruits, pèches, prunes et abricots peuvent être travaillés en compotes rehaussées des saveurs rondes et enveloppantes de vanille du Mexique. Les premiers potimarrons apparaissent sur les marchés et il ne faut pas hésiter à réaliser des crèmes redynamisées de Poudre des Fées…
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